Il y a ce moment étrange où, malgré ce que vous avez construit, malgré les efforts, les rituels, les “je devrais être reconnaissante”… vous ressentez un vide.
Un fond d’insatisfaction.
Comme si ce n’était jamais tout à fait suffisant.
Comme si quelque chose d’invisible manquait toujours.
Mais pourquoi ce sentiment revient-il si souvent ?
L’insatisfaction intérieure ne vient pas d’un caprice de l’ego.
Elle est souvent le reflet d’un décalage.
Un décalage entre :
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ce que vous vivez et ce que vous ressentez profondément
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ce que vous avez… et ce que vous n’osez pas encore vous offrir
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ce que vous montrez… et qui vous êtes réellement
L’insatisfaction est un signal, pas une faiblesse.
Elle vous montre qu’une partie de vous demande à être réintégrée, écoutée, honorée.
Et si vous cessiez de chercher “plus”… pour chercher juste ?
Le piège, c’est de croire que la solution viendra d’un objectif en plus, d’une réussite de plus, d’un projet de plus.
Mais dans la majorité des cas, c’est le lien à soi qui demande à être réparé.
Réparer la relation à votre corps.
Réparer la connexion à votre intuition.
Réparer la façon dont vous vous parlez, dont vous vous considérez.
Comment apaiser l’insatisfaction ?
Voici quelques pistes concrètes pour commencer :
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Observer ce que vous cherchez à combler dans vos journées : nourriture, bruit, distraction, performance… et vous demander ce que cela vient éviter.
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Nommer ce qui vous rend fière, même si c’est petit. Le cerveau insatisfait ne voit que le manque. Offrez-lui de nouvelles preuves.
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Vous reconnecter à vos sensations, à votre corps, à votre féminin : c’est souvent dans l’ancrage que renaît la joie simple d’être là.
L’insatisfaction n’est pas une ennemie.
C’est une boussole, elle peut vous guider vers une vie plus juste.
Vous sentez-vous aujourd’hui comblée ou insatisfaite ?
Peggy