Vous pensez peut-être que le problème vient de votre travail,
ou de ce projet qui ne décolle pas,
ou de cet homme qui ne sait pas vous aimer comme vous en auriez besoin.
Vous vous dites que changer d’environnement, de métier, de relation vous libérera enfin.
Et parfois, oui… changer peut être salutaire.
Mais très souvent, ce n’est pas la fuite qui sauve c’est la prise de conscience.
Ce que vous fuyez vous poursuit.
…jusqu’à ce que vous osiez le regarder en face.
Si vous n’êtes pas bien dans votre poste actuel,
et que vous en changez sans avoir compris ce qui s’est vraiment joué,
vous risquez de retrouver ailleurs, la même ambiance toxique, la même injustice, le même sentiment d’être enfermée.
C’est pareil dans les relations.
Vous pouvez quitter un homme…mais si vous n’avez pas guéri ce qui, en vous, attire toujours le même schéma, vous retrouverez le même homme dans un autre corps.
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La fuite est une illusion de liberté
Ce n’est pas vous qui repartez… C’est votre blessure qui prend les commandes.
Et tant que vous ne prenez pas le temps de poser les choses avec conscience, vous recommencerez les mêmes histoires, avec de nouveaux visages…et une fatigue de plus en plus grande.
Alors, avant de fuir…
…offrez-vous une vraie pause.
Pas pour vous figer.
Mais pour observer avec honnêteté :
Qu’est-ce qui, en moi, appelle à être vu ?
Qu’est-ce que je rejoue malgré moi ?
Ce travail, vous pouvez bien sûr le faire seule.
Mais parfois, être accompagnée, par une amie bienveillante, un coach ou une thérapeute, fait toute la différence.
Quelqu’un qui vous accueille, vous écoute et vous aide à remettre du sens… et du souffle.
Ne laissez pas vos blessures invisibles décider pour vous.
Reprenez le volant. Avec conscience. Avec présence. Avec amour.
Peggy