Je crois que je viens de battre un petit record personnel… Le dernier changement d’heure ? Je m’en suis rendu compte 48h plus tard.
Ce n’était pas un oubli volontaire, pas un bug technologique, juste… je n’étais pas au courant.
Je vis dans un lieu très ensoleillé, baigné de lumière, je suis restée naturellement réglée sur le rythme du soleil, du corps, des besoins simples.
Et ça m’a frappée.
Le temps naturel, celui du vivant, celui de l’âme, n’est pas celui des montres, ni des agendas, ni des notifications.
C’est un temps qui se mesure à l’intérieur.
Pendant des années, j’ai couru après le bon rythme.
J’ai essayé de “m’organiser”, “optimiser”, “tenir le cap”…
Mais à quel prix ?
Celui de l’épuisement. De la perte de sens. De la séparation avec moi-même.
Et peut-être que vous aussi, vous sentez que le rythme imposé ne vous convient plus :
– Vous êtes plus lente que le monde ne le permet.
– Vous avez besoin de respirer entre deux actions.
– Vous sentez que ce n’est pas dans la vitesse que vous vous trouvez mais dans l’espace entre les choses.
Alors je vous pose une vraie question :
Et si vous aviez le droit de ralentir sans culpabiliser ?
Et si votre efficacité n’était pas liée à la cadence… mais à la cohérence avec votre propre tempo intérieur ?
Parce que votre âme, elle, n’est pas pressée.
Elle est là pour explorer et non pas pour cocher des cases.
Elle avance quand c’est juste et non pas quand c’est urgent.
Et si vous avez déjà oublié qu’on a changé d’heure, vous êtes peut-être plus proche que vous ne le croyez de ce retour à l’essentiel.
Si vous pensez que cette histoire peut inspirer des femmes de votre entourage, transmettez-leur cet article.
Peggy
