Aujourd’hui, j’aimerais vous parler d’un sujet un peu à contre-courant.
Un mot qu’on n’aime pas toujours lire dans les newsletters de développement personnel, mais qui, à mes yeux, fait partie du chemin de transformation : l’effort.
Il y a des périodes dans la vie où on n’a pas le goût de l’effort.
Tout paraît lourd. On repousse. On attend « le bon moment ».
Et parfois, on se sent même coupable de ne pas réussir à se mettre en route.
Mais ce manque d’élan n’est pas qu’une question de paresse ou de discipline.
Il cache souvent une mémoire. Une peur. Un mécanisme.
Par exemple :
– Si on vous a appris que l’effort devait être douloureux, écrasant, sans joie… vous avez peut-être développé une forme de rejet protecteur.
– Si on vous a surprotégée, fait croire que vous n’étiez pas capable, vous avez
peut-être renoncé avant même d’essayer.
– Si l’effort n’a jamais été reconnu dans votre histoire, alors à quoi bon vous y
mettre ?
Et pourtant, le goût de l’effort peut être un cadeau.
Pas l’effort pour s’épuiser.
Mais celui qui vous rend fière. Celui qui vous réaligne. Celui qui vous fait sentir que vous êtes vivante, actrice, capable.
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Personnellement, j’ai toujours eu ce goût de l’effort.
Je l’ai hérité de mon éducation et du sport :
on m’a montré très tôt que faire ce petit centimètre de plus, celui que les autres évitent, peut ouvrir des mondes.
Que se dépasser, même doucement, même imparfaitement, change le regard que l’on a sur soi.
Et c’est ce que je vois aussi chez les femmes que j’accompagne.
Quand elles osent poser ce premier acte symbolique. Quand elles reprennent leur corps en main. Quand elles réinstallent du rituel, du sens, du mouvement…
Alors le goût de l’effort revient, comme un muscle qu’on croyait perdu.
Et avec lui, une confiance nouvelle.
Alors si vous vous sentez dans une période où tout semble trop dur…
Je vous invite à choisir un minuscule effort conscient.
Pas pour prouver. Pas pour réussir.
Juste pour sortir du figement. Pour vous prouver que vous êtes là, encore capable de mouvement.
Et vous verrez : souvent, ce n’est pas l’effort qui manque, c’est la direction qui est floue, ou le cœur qui n’y croit plus.
Et vous avez-vous le goût de l’effort ?
Peggy